28/09/2013

Rentrée des séries 2013



Un mot général d'abord sur cette rentrée 2013, le niveau est très très bas. Les nouveautés auraient toutes été oubliées si elles étaient sorties une année où il y avait du bon à se mettre sous la dent. Les reprises n'amènent aucune surprise à part celle de ne pas aboutir. L'été n'a pas été très prolifique (à part Siberia). Aucune sitcom pour reprendre le flambeau de Modern Family et Community alors que celles-ci s'essoufflent. Aucune série ambitieuse artistiquement, politiquement ou simplement différente au niveau du format. Mais les séries cartonnent partout en ce moment, tout le monde en parle, et du coup, tout le monde veut en faire. Les chaînes sont frileuses et acceptent des séries qui mélangent des recettes "qui marchent", du coup ça ressemble à un gloubiboulga d'éléments disparates qui ont marché dans d'autres séries mais qui sont tout à fait pathétique rafistolés ensemble. Les chaînes qui oseront lancer des séries totalement innovantes, qui oseront se lancer sur des narrations non basées sur un pilote (Kevin Spacey le dit mieux que moi) et dans des formats plus complexes gagneront le morceau facilement face au niveau ras-les-pâquerettes de ce que les grandes chaînes US proposent pour cette rentrée 2013.

La bonne nouvelle ? Je vais à nouveau avoir du temps pour lire.

Ci-dessous, une critique de toutes les nouveautés (sauf Back in the Game qui ne mérite même pas d'être testée et Masters of Sex qui commence le 30 septembre dont j'attends beaucoup), un agenda des reprises des séries que je regarde et un bilan des fins de séries diffusées cet été. Si vous avez découvert d'autres choses qui méritent d'être vues et qui ne sont pas répertoriées sur ma page série de séries, n'hésitez pas, cet automne mérite d'être étoffé.

Les nouveautés



(Marvel's) Agent of S.H.I.E.L.D. (saison 1)

La série la plus attendue de la rentrée, forcément, action, superhéros et Joss Whedon. Je m'attendais à une grosse machine qui détruit toute subtilité sur son passage, mais non, Whedon réussit à construire une ambiance avec un goût de reviens-y, il maîtrise les codes du genre et réussit à ne pas tout nous livrer sur un plateau dès le pilote, contrairement à TOUTES les autres séries de cette rentrée.



The Blacklist (saison 1)

NBC a misé gros sur cette série, tout est là : un casting connu et reconnu (pleins d'acteurs recyclés d'autres séries qui ont bien marché) avec une grande star à sa tête (James Spader), des trucs de scénarios qui ont du succès (une profiler, un criminel brillant et esthète avec lequel on doit collaborer, un agent du FBI à la mâchoire carrée, des méchants étrangers très organisés, un complot, une héroïne au passé difficile qui veut des enfants) (je parie que la profiler va embrasser l'agent du FBI en cliffhanger de la fin de la saison 1), du fric dans les décors et les effets visuels, de jolies lumières bien léchées et de l'action. Seul problème, il manque un réalisateur qui ne soit pas un exécutant mais qui ait un peu de talent. De belles lumières c'est bien si ça sert le propos, et c'est bien quand c'est cohérent, ici on passe d'un joli décor à un autre sans lien, le rythme est inégal et retombe très souvent malgré quelques séquences couillues.
Vu les moyens déployés par les chaînes pour les pilotes et le fait que du coup, forcément, ça retombe un peu dans les épisodes suivants, je ne donne pas très cher de The Blacklist, mais je vais lui donner un répit de quelques épisodes avant de l'abandonner. (Si cette rentrée était meilleure, elle ne passerait pas la rampe.)



Hostages (saison 1)

Tony Colette interprète une chirurgienne qui va opérer le Président des USA. Des kidnappeurs la prennent en otage avec sa famille (un mari crétin qui essaie de se rebeller et deux ados qu'on a envie de gifler plus ou moins à chaque scène) et lui intiment l'ordre de tuer le Président. Mais les kidnappeurs ne sont apparemment pas que des méchants nous laisse entrevoir le pilote. Excellent rythme, le meilleur de tous les pilotes vus ces deux dernières semaines, mais ça pêche au niveau du scénario. Pleiiiinnnnsss de bons sentiments mais des personnages auxquels on ne s'attache pas, du déjà vu à chaque scène. Je vais peut-être voir quelques épisodes, mais ça m'étonnerait que ça tienne le coup sur la durée.




Sleepy Hollow (saison 1)

Ichabod Crane se réveille au fond d'une caverne près du village de Sleepy Hollow. Sauf qu'il a perdu conscience plus de deux siècles plus tôt et que les années 2000 ne l'accueillent pas au mieux. Après avoir convaincu une femme policier qu'il disait peut-être la vérité, il va l'aider à éclaircir le mystère du chevalier sans tête. Dans le pilote on comprend tout l'enjeu : confrontation entre deux époques, atmosphère fantastique, tension dramatique qui tient sur deux personnages opposés. Sauf que le choc des époques pour Ichabod est utilisé de manière très très très grossière, c'est plus un genre de running gag qu'un enjeu dramatique, que l'atmosphère fantastique est plus caricaturale qu'autre chose (il y a un corbeau numérique, j'ai rarement vu un animal numérique aussi mal "collé" à une image) et que la tension entre les deux personnages qui vont probablement tomber amoureux a déjà été vue environ 6'738'398 fois.
Cette série a pourtant ravi certains spectateurs, pour ma part, je regarderai peut-être le 2e épisode en cas d'ennui profond ou d'envie de navet. Si vous avez aimé le film de Tim Burton et un tant soit peu de subtilité : passez votre chemin.



Lucky 7 (saison 1)

Sept employés d'un magasin de station-service jouent au loto ensemble depuis des années. Le prologue nous les présente tous, puis ils gagent le gros lot. On sent poindre les dissensions entre eux, entre chacun d'eux et ses proches. Les sept personnages sont intéressants, pas de star au casting, une réalisation rythmé et un visuel bien foutu, on a enfin des vrais visages avec des rides, des kilos en trop et des boutons. Pas d'effet plastique, on tente de nous parler d'autre chose que de la upper middle class et de ses problèmes d'enfants gâtés, ça fait du bien. Tiré d'une série anglaise (que je n'ai pas vue), c'est une des séries que je vais suivre cette saison.



 The Michael J Fox Show (saison 1)

J'aime beaucoup Michael J. Fox, alors quand Michael J. Fox revient en jouant Michael J. Fox, ça me plaît. D'autant qu'il ose se moquer de son propre come-back, lui qu'on n'avait pas vu depuis l'annonce de sa maladie de Parkinson. Sa maladie est justement au centre du dispositif, il en joue, il s'en moque, il sensibilise. Il est drôle, il est juste, il est tendre, il est cynique. Par contre, le reste du dispositif, sa petite famille qui l'entoure et raconte ses états d'âmes à la caméra, est poussif. Mais c'est une très bonne surprise pour quelque chose qui aurait pu être soit anecdotique soit totalement glauque. J'attends de voir la suite.



Brooklyn Nine-Nine (saison 1)

Malgré un casting époustouflant devant la caméra, au scénario et à la création (des anciens de Saturday Night LiveParks and Recreation ou encore Arrested Developpment), c'est un échec. On suit cette avalanche de gags sans cohérence et sans rythme en ce demandant quand ces très longues 22 minutes vont se terminer, il est possible que cette série ne finisse même pas sa première saison.




Trophy Wife (saison 1)

Une jeune blonde trentenaire épouse un cinquentenaire divorcé deux fois qui a trop enfants et deux ex-femmes très très très pénibles et présentes. On s'arrête là ? Oui. J'avoue avoir quand même rit plusieurs fois, et retrouvé avec plaisir Bradley Whitford (Josh dans The White House) qui fonctionne très bien en comédie. Et j'ai aimé que les personnages féminins ne soient pas totalement crétins et hystériques (ce sont deux créatrices pour cette série), peut-être la seule sitcom supportable à cette rentrée.



Dads (saison 1)

Deux amis d'une trentaine d'année qui travaillent ensemble et sont un peu geeks ont des relations difficiles avec leurs pères. Essai de mélange de toutes "les recettes qui marchent", résultat indigeste. J'ai tenu cinq très très longues minutes.


Mom (saison 1)

Même remarque qu'au-dessus : un mélange de pleins de recettes qui marchent. Sauf que cette fois on a Chuck Lorre (Mon Oncle Charlie, The Big Bang Theory) aux commandes, Anna Faris et Allison Janney (la PR de The White House) dans les personnages principaux, donc ça fonctionne mieux. Mais ça reste poussif, malgré quelques sourires. Pas convaincue.



The Goldbergs (saison 1)

Le réalisateur se souvient de sa famille dans les années 80. Juste NON. Les années 80 c'est une bonne idée, mais il faut faire autre chose que montrer juste des coiffures et des fringues ridicules. Malcolm me manque.



The Crazy Ones (saison 1)

On prend un acteur célèbre (Robin Williams), une star de série (Sarah Michelle Buffy Gellar), une entreprise fun qui cartonne (comme dans House of Lies), on mélange le tout et... ça ne fait pas une série. Ce n'est pas suffisant, merci de revoir votre copie. J'ai eu du mal à tenir jusqu'au bout du pilote.


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Les reprises

(par dates)

18 septembre : New Girl (saison 3)
Reprise molle. Le couple Jess-Nick va faire perdre l'intérêt de toute la série, 1e épisode autour d'eau tout à fait pénible. Dès qu'on passe aux autres c'est toujours aussi absurde et donc plaisant. Mais ça n'enthousiasme plus.

23 septembre : Downton Abbey (saison  4)
Début difficile, il faut recoller les morceaux. Vivement qu'ils se relèvent de la mort de Matthew, mais ça risque de prendre du temps. En attendant, on peut toujours admirer les costumes, décors et lumières.

24 septembre : How I met your Mother (saison 9 et dernière)
Enfin, la dernière saison. Je vais regarder juste pour ne pas avoir vu les saisons 5 à 8 pour rien, mais dès le pilote c'est pénible, malgré tous les efforts qu'ils mettent pour des rebondissements. Mais bon, on connait enfin la mère, mais même ça ne rend pas une once d'étincelle à cette série qui tire sur la corde depuis trop longtemps.

26 septembre : Modern Family (saison 5)
Ce n'est pas que cette série est fabuleuse, mais si elle gagne pour la 3e fois consécutive l'Emmy de la meilleure sitcom, c'est surtout que la concurrence est vraiment faible. Je reste énormément attaché au dispositif du mockumentary et à ces personnages dont les failles sont leur principal intérêt.

27 septembre : The Big Bang Theory (saison 7)
Je ne sais pas pourquoi je regarde encore. Pour les 4 blagues de la saison qui me feront vraiment rire ? Parce que le côté nerd m'attendrit ? Par habitude ? Par manque de mieux en sitcom. J'espère juste que ça se terminera bientôt. L'acteur qui joue Sheldon a 42 ans, il est temps de lui confier d'autres rôles que celui de l'éternel ado.

27 septembre : Parks and Recreation (saison 6)
Mouarf. Le seul suspense de cette saison est : vais-je vraiment regarder tous les épisodes. Je me réjouis juste de retrouver Ron Swanson, et le premier épisode lui donne le beau rôle, c'est magnifique.

30 septembre : Homeland (saison 3)
Contrairement à la plupart des critiques, j'ai beaucoup aimé la saison 2, j'ai aimé la transformation de Carrie et même si l'épisode final de la fuite au Canada était un peu (hum) tiré par les cheveux, il n'y avait pas vraiment d'autre issue pour continuer. Et j'adore ces personnages que je me réjouis de voir interagir à nouveau dans cette saison 3 où, si l'on se fie à la bande-annonce, ils devraient se recroiser dans leurs rôles ambivalents respectifs.

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Les fins de saison

(par ordre décroissant)

Breaking Bad (saison 5 et dernière)

En un mot ? Epoustouflant.
En plusieurs un autre billet pour elle toute seule dès que j'aurai vu le finale.




The Newsroom (saison 2)

Cette deuxième saison m'a moins enthousiasmé que la première, même s'il reste des moments d'anthologie. Le jeu avec les médias sociaux est toujours amusante à observer, bien qu'un peu cliché. Le suivi de l'actualité et les choix de la rédaction (= de Aaron Sorkin) sont intéressants à analyser. Les comédiens sont toujours exceptionnels, Jeff Bridges mérite largement son Emmy. Mais malgré cette trame mise en place sur toute la saison avec ces interviews, c'est moins punchy que la première saison. Probablement aussi à cause des intrigues sentimentales qui prennent de plus en plus de place. J'attends de voir si Aaron va réussir à retrouver son souffle pour la 3e saison ou s'il aurait dû s'arrêter à la première.




Dexter (saison 8 et dernière)

Merveilleuse idée que de revenir aux origines avec le Dr. Evelyn Vogel interprétée par la toujours fabuleuse Charlotte Rampling. Le retour aux origines me fait penser à tous les mythes de super-héros, Dexter a choqué à son arrivée à l'antenne, elle ne choquait plus, il fallait redonner un coup de fouet à tout ça. Malheureusement il n'a fallu que deux épisodes à cette dernière saison pour redevenir aussi ennuyeuse que les précédentes. L'épisode final est un blague, avec une fausse tempête et une fausse Argentine en carton-pâte. Il était temps que ça s'arrête, dommage de ne pas l'avoir fait plus tôt. Je souhaite à Michael C. Hall pléthore de rôles à sa mesure !




Siberia (saison 1)

OVNI total et excellente surprise que cette série. Je ne veux pas trop en dévoiler car c'est son changement total de genre qui m'a amenée à devenir totalement accro. Siberia est un mockumentary d'une émission de télé-réalité. Des candidats sont lâchés dans une contrée inconnue et sauvage où l'on parle russe sans savoir vraiment où ils sont, le seul but : survivre, la seule règle : il n'y en a aucune. En tant que spectateur de Siberia on sait que l'on regarde une fiction. On s'attend à un démontage en règle des émissions de téléréalité façon Survivor. Les pires travers de ce type d'émission sont d'ailleurs très très rapidement montrés du doigt, moqués et sévèrement critiqués. Mais tout ne se passe pas comme prévu. Vraiment pas comme prévu. Vraiment vraiment vraiment pas comme prévu. 
Dès le premier épisode, la série s'ingénie à détruire notre empathie pour ces personnages qui sont là pour le "jeu", pour l'argent, en dépit du bon sens et de leur sécurité. Elle joue au fur et à mesure des épisodes avec nos émotions. Le jeu téléréalité ou pas est parfois un peu bancal, mais j'ai marché totalement du début à la fin. Même s'il y a quelques erreurs impossibles à camoufler (la question des caméramans qui les accompagnent partout mais qu'on ne voit pas même dans les moments de panique et qui soudain réapparaissent parce qu'on a besoin d'eux pour faire avancer l'action), le rythme est tel et les surprises si nombreuses que l'on se fait embobiner par le scénario.
A réserver aux coeurs bien accrochés qui aiment se faire peur dans le noir. J'ai sursauté, souvent... mais moi j'adore ça. Les amateurs du côté fantastique, conspirationniste et labyrinthique de LOST devraient aimer !



The Bridge (US) (saison 1 et dernière)

La série originale est absolument fabuleuse. L'idée de la retranscrire entre les USA et le Mexique est excellente, il fallait la transformer beaucoup pour que ça colle un tant soit peu à la trame voulue. Malheureusement le couple du casting n'est vraiment vraiment pas à la hauteur du casting original. Et ça manque de rythme, les clichés culturels sont un peu trop mis en avant et toujours au détriment des Mexicains, et les intrigues secondaires (où l'on a recyclé des comédiens connus) prennent trop d'importance alors qu'elles sont juste du remplissage. Ne perdez pas votre temps et voyez plutôt la série originale qui est un chef d'oeuvre. Dans quelques mois, il y aura un autre remake, entre les USA et le Canada cette fois, je vous en parlerai.



The Broadchurch (minisérie)

Courte série policière d'ambiance comme les Anglais savent si bien les faire. Une petite ville au bord d'une falaise, le corps d'un jeune garçon retrouvé sur la plage, un policier pas du coin qui se fait aider par la fliquette du coin, des profils louches et de jolies images. Mais surtout, surtout, un recyclage faramineux d'acteurs d'autres séries à succès, en particulier Doctor Who et Game of Thrones. Se laisse regarder mais est loin d'être indispensable.



Under The Dome (saison 1)

Nouvelle de Stephen King transcrite en série par King himself, Under The Dome a les qualités et les défauts des adaptations de King très surveillées par King depuis les années 80 : ça manque de rythme, les personnages littéraires sont retranscrits en personnages filmés qui n'ont que deux facettes malheureusement immédiatement identifiables, ses scénarios emberlificotés qui sont un plaisir à lire sont ennuyeux à regarder car l'on se perd dans des détails insignifiants. IT les livres m'avaient glacé le sang. IT le téléfilm m'avait fait bailler. C'est pareil ici, sauf que Under The Dome n'a pas le génie de IT. Inutile.


12 commentaires:

  1. Under the Dome se laisse regarder distraitement, en mangeant de la pizza. Un peu pour se moquer aussi,

    J'ai bien aimé "what remains", dans lequel un policier en fin de carrière (mais pas aigri ni amer) s'accroche à une dernière enquète: le meurtre irrésolu d'une grosse fille solitaire et transparente retrouvée dans le grenier d'une petite maison.

    Et sans casser des briques, Ray Donovan est une assez bonne surprise.

    Pour Dexter, les auteurs ont réussi à pousser très loin la médiocrité scénaristiques, bravo à eux.

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    1. Ray Donovan j'ai apprécié les premiers épisodes, mais j'ai calé, je ne sais pas pourquoi. La relation père-fils ne m'a pas touchée, peut-être une écriture trop masculine ?

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  2. Tout à fait d'accord au sujet de The Bridge. Son seul mérite, pour moi, est de m'avoir fait connaître l'existence de la série originale Bron/Broen, dont je n'avais pas entendu parler.

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  3. Sérieusement, encore une reprise de reprise de The Bridge ? Et pourquoi pas The Tunnel où, pour démasquer le tueur de l'Eurostar, Julie Lescaut doit réussir à s'entendre avec l'inspecteur Barnaby malgré leurs différences culturelles

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    1. Ah non, ça c'est pour le printemps, j'y reviendrai :-D

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    2. Ah, merde, c'est pas une blague, en plus...
      http://www.canalplus.fr/c-series/c-tunnel/pid6559-tunnel-la-serie.html

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  4. Pour l'instant, y a que The Blacklist qui me convient. Sleepy Hollow est distrayante mais sans plus, Brooklyn 99 juste pour les acteurs, The Crazy Ones est une purge, Agents of Shield est nanardesque... Enfin bref, rentrée de merde - je pense qu'il faudra attendre la mi-saison et l'arrivée de Mob City, True Detective et autres séries cablées pour que 13/14 deviennent intéressante!

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  5. Merci pour les spoiler! (down town abbey!)

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    1. *Downton Abbey (fail hihi)

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    2. Les spoilers de la saison précédente diffusée il y a plus de 9 mois ne le sont plus. Sinon il ne faut pas lire des choses sur les séries...

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  6. Siberia était vraiment génial ! Espérons que malgré la faible audience il y aura une 2ème saison. Je suis resté sur ma faim.

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