Gros plan

30/11/2009

Liner noir & or


Tout simple, juste un trait de liner crème noir (toujours le petit pot Shiseido avec pinceau biseauté 266 de MAC) recouvert de liner doré Essence. Je trouve ça joyeux, festif. J'ai retrouvé le tuto pour eye-liner parfait pour moi, donc avec pinceau biseauté. Cette Purity fait des tutos photos fabuleux.


Une dernière photo pour le plaisir, juste pour montrer mes petites rides qui commencent à se dessiner sur le haut de mes pommettes dès que je souris et que j'aime énormément. Contrairement à certaines copines qui commencent à s'inquiéter des leurs, celles que je vois se dessiner sur mon visage me plaisent beaucoup. Pourvu que ça dure.

Je crois que ce sera mon choix pour noël, peut-être avec également un halo doré ET des ongles dorés si je me sens d'humeur. Ou pas.

27/11/2009

O.P.I. des merveilles


Oui, encore des trucs d'ongles, mais c'est pas ma faute ! Si O.P.I. décide de travailler sur une collection à propos d'un de mes réalisateurs fétiches, je ne peux pas lutter ! Pourtant, je ne sais pas encore si je les veux ou non. J'ai presque plus de place dans ma boîte à vernis. Dilemme.

Bon il faut attendre cette collection autant qu'il faut attendre le film. Dur.

Et là, si j'étais sur twitter, j'utiliserais des hashtags contradictoires du genre #petasserieassumée #pauvrefille #fautquejemacheteuncerveau. Mais ça dépasse les 140 caractères.

23/11/2009

Parfait amour et Nocturnelle



Le Parfait amour est un mat, difficile à travailler et qui marque peu. Mais il est magnifique. Ici, sur la paupière mobile et ras des cils inférieurs. En banane et outer V, Nocturnelle, pour intensifier et volumiser un peu l'histoire. Sinon Murielle va encore m'accuser de faire un à plat ! En highlight et aux coins internes, le Sweetlust.


ET un nouvel anti-cernes, ce qui a sont importance avec un make-up violet... Donc, le plus couvrant de chez MAC. Super facile à utiliser, couvrance parfaite et modulable. Encore une victoire de canard.

18/11/2009

Mon(es) très cher(s) Père Noël


Armalite m'a encore soufflé une idée, celle de remettre au goût du jour la lettre au Père Noël. Parce que même si on se dit toujours "on ne fait des cadeaux qu'aux enfants" en fait, on continue à se faire des cadeaux. La plupart du temps, ma famille me connaît bien et tombe plutôt juste. Mais moins juste que si je leur disais : je veux CA. Oui mais, je ne leur dis jamais, en général soit ils me prennent au dépourvu, soit je n'y ai pas encore réfléchi (je fais partie de ceux qui font leurs cadeaux à partir du 15 décembre, pas depuis le 15 septembre !) ou encore je n'ose pas leur dire de peur que mon idée ne leur convienne pas. Donc voici ma liste. Il ne me reste plus qu'à oser envoyer l'adresse de ce billet aux concernés...


Livres / films

- "Lait noir" d'Elif Shafak chez Phébus

- "D'autres couleurs" d'Orhan Pamuk chez Gallimard. Pour continuer ma découverte de la littérature turque.

- "Les loosers d'Hollywood" de Daniel Deep aux Presses de la Cité.
De toute manière, un roman bien écrit qui parle de gastronomie ou de cinéma ou -merveille des merveille- des deux ne peut que me combler ! Si vous avez d'autres suggestions dans le genre, je suis preneuse également !

- "A table avec la mafia" de P. di Falco et C. Dixsaut aux éditions Agnès Viénor. 
Parce que rien que l'idée de la gastronomie italienne-new yorkaise me met l'eau à la bouche, qu'il y a un dieu sur la couverture ET que je n'ai JAMAIS assez de beaux/bons livres de cuisine originaux.

-  "Tout le monde peut cuisiner" de Jamie Olivier chez Hachette.
Parce qu'il tente de prouver que cuisiner peut changer le monde, je ne peux qu'adhérer à ce programme politique !

- Ou un bon Payot que je puisse passer des heures à choisir mes futures lectures.

-
"Stranger than Fiction" ou "L'incroyable destin d'Harold Crick" de Marc Foster (2006). 
Parce que comme pour les romans qui parlent de cinéma et de cuisine, les films qui parlent de cuisine ou/et de littérature me passionne, et que celui-ci est particulièrement réussi.

-
"Milk" de Gus van Sant (2008). Pour pouvoir le revoir et le revoir.

- Du cinéma à volonté (35.- / mois).

- Un bon chez Karloff que je puisse agrémenter ma dvdthèque de joyaux rares.



Autres

- Eau de pamplemousse rose de Hermès. Parce que.

- Un Jardin en Méditerranée de Hermès. Même raison que le précédent.

- Aqua Allegoria Mandarine-Basilic de Guerlain. Bon, je crois que vous avez compris le concept, j'aime les senteurs d'agrumes.

- Un bon chez Globus, que je puisse aller dévaliser M.A.C. et Clinique.

- Un bon chez Sculpt Scalp pour la future coupe qui m'ira tellement bien que vous voudrez y aller aussi.

- De beaux gants en daim ou en cuir, si possible avec un joli petit bouton au niveau du poignet, unis mais pas noirs.

- Un bon chez H&M ou Promod pour pouvoir faire du shopping même quand je suis fauchée.

- Un très beau parapluie genre vintage avec une belle poignée ou très joyeux et coloré et/ou des bottes de pluies, super colorées et/ou rigolotes (pointure 41). Et si les deux, qu'ils fassent un bel ensemble.

- Un lecteur/graveur de CD/DVD externe pour mon bébé MAC qui commence à être dinosauresque, le pauvre chéri, il a besoin d'aide.

- Un iphone, parce que je vais finir par craquer un jour, autant que ça ne soit pas de ma faute !



EDIT : Il est absolument évident qu'un billet d'avion pour New York est le meilleur cadal du monde, rien que pour ça.



PS : Je suis tout à fait pour que cette liste serve également pour mon anniversaire de 3X.
PS : Et pis en passant, c'est mon 100ème billet, bravo moi.

15/11/2009

… et se complexifie


Décidément, la marque Essence me plaît de plus en plus. Non seulement ses produits ne sont vraiment pas chers, mais il y a pleins de produits ludiques et originaux que l'on ne trouve pas ailleurs, tant dans les soins visage que dans le maquillage. J'avais déjà parlé des pochoirs pour créer des motifs sur les ongles, récemment, Essence a également sorti deux kits de tampons comportant chacun un tampon, un racloir et un plateau avec 7 motifs. Ils coûtent 4,90 francs suisses chacun.



J'ai testé, plusieurs fois.



- Premier constat : je ne suis pas douée.

- Deuxième constat : je ne suis pas sûre que le racloir soit vraiment bien. Mais comme je n'ai jamais testé les kits KONAD (la référence pour cette technique), peut-être qu'il faut simplement se rapporter au premier constat.

- Troisième constat : c'est marrant à faire, mais il faut impérativement choisir pour les motifs des vernis très opaques et donc la couleur est très différente du vernis posé à la base.

Mon premier essai. Vernis Lancôme doré et vernis MAC gris (Hello Kitty). J'aime bien le côté discret... surtout que du coup ça camoufle un peu les ratés ET les motifs camouflaient les coups de pinceaux que laissent le pinceau Lancôme. Tout bénéf'

Deuxième essai un peu foiré. Le violet est de chez Essence, il est sublime avec ses reflets bleus. Les motifs sont en Galsgow de Mavala. Vous remarquez qu'on voit à peine les motifs. Mais j'aimais bien l'idée de violet/mauve. Mon côté pétasse probablement. Bref, ça marche, mais je me suis tellement foirée sur le reste des doigts que tout a été effacé le lendemain.

Troisième essai, Red Hot de Mavala et motifs noirs (vernis Zara, qui tient très bien d'ailleurs). Au vu de la discretion des motifs précédents, j'ai fait du voyant. J'aime beaucoup l'idée du rouge/noir. Le fait que les papillons ne se marquent pas complètement ne me dérange pas, au contraire, c'est presque mieux que si j'avais vraiment réussi mon coup. Par contre, là c'est les deux doigts les plus réussis, il y a quelques grosses tâches noires.

Qu'en pensez-vous ?

13/11/2009

La vie de mes ongles s’intensifie…


D'abord, le doré de la dernière collection de Lancôme qui est ENFIN sortie en Suisse (on ne la trouve pas partout, à Lausanne : chez Douglas, rue de Bourg, par exemple). Les deux choses qui me tentaient étaient le vernis doré et le gloss doré. Au vu des prix, j'ai sacrifié le gloss, qui pourtant me plaît énormément, pour le vernis.


MAIS :
- Il est cher, encore plus cher qu'un vernis O.P.I. pour moins de produit.
- Le pinceau marque, on le voit un peu sur la photo, l'application est donc fastidieuse.
- Le produit est un peu trop épais, il est donc bien opaque, mais c'est difficile d'appliquer des couches fines afin qu'il sèche vite et soit bien solide.
- Par contre, la tenue est irréprochable, ça fait 8 jours maintenant !!! Les bouts de certains ongles commencent à peine à s'écailler. Impressionnant, mieux que OPI. Dommage que leur pinceau laisse autant de marques !!! J'aimerais pouvoir dire que ce sera mon premier et mon dernier vernis Lancôme, au vu du prix et des marques laissées par le pinceau. Mais l'indigo de la même collection a une couleur irrésistible. Et je profite que certaine qui ne s'intéresse pas du tout au vernis soit à l'étranger pour vous annoncer que mon prochain billet sera aussi onglofocalisé.

11/11/2009

Dégradé de gris


C'est classique et simple, j'aime beaucoup porter un dégradé de gris avec un liner simple. Et je suis assez contente car je commencer à pouvoir poser un trait de liner régulier sans avoir besoin de 15 coton-tiges imbibés de démaquillant pour rattraper mes maladresses. Depuis que j'ai vu LA technique chez une blogueuse (mais je ne me souviens pas de laquelle, désolée) pour la virgule. C'est à dire poser mon pinceau biseauté depuis le coin de l'oeil, en traçant une ligne qui suit la montée de la paupière inférieure. Bon, c'est pas clair du tout, mais j'ai enfin trouvé MA technique pour que ça fonctionne.


Le Howzat vient du quad Fafi, le Smoke&Diamond d'une autre collec' éphémère de l'hiver dernier et le Blanc de Body Shop. C'est dommage que les fards Body Shop n'aient pas de vrai nom, juste un numéro.
L'eye-liner crème vient de Shiseido (même taille que les petits pots de fards crème si jolis), le khôl est gris et de Body Shop, le mascara est l'Exceptionnel de Chanel -qui arrive au bout du tube (snif) et dont je vais garder la brosse et tenter de trouver un tube de mascara pas cher dont le pas de vis correspondrait- et les sourcils sont étoffés avec un crayon Essence.

05/11/2009

Martin Winckler parle au “Choeur des femmes”


Le Dr Marc Zaffran est médecin généraliste. Dans sa tête il y a un auteur, Martin Winckler, que j'avais "rencontré" lors d'un forum sur un blog où il répondait aux question des unes et des autres, il a d'ailleurs continué à me répondre par mail, ce dont je lui suis infiniment reconnaissante, ma contraception a changé depuis et je la vis de manière beaucoup plus sereine.

Pardon pour la digression, mais grâce à lui, je me suis renseignée à propos du DIU, ou "stérilet". Ce nom a d'ailleurs participé longtemps au colportage de fausses idées comme : peut rendre stérile car il cause des infections ; ne doit pas être posé sur une nullipare (quel abominable mot, comme si une femme était définie par son nombre d'enfants ou de grossesses !) ; et bien d'autres. Le pire, c'est que les gynécologues eux-mêmes aident parfois (souvent ?) à colporter ces légendes. Evidemment, c'est un des moyens de contraception efficace les moins cher du marché, et donc très peu rentable (pour un gynécologue) : une fois posé, hop, 5 à 10 ans de tranquillité. De plus (ce qui est important pour moi), c'est un des seuls moyens contraceptifs non hormonal. Mais non, trois gynécos successifs m'ont fait continuer la pilule ou essayer d'autres solutions hormonales comme ("vous verrez, c'est beaucoup moins chargé en hormones et on ne sent rien du tout" : bullshit) en me déconseillant fortemen "le stérilet" (d'ailleurs, ils l'appelaient "stérilet" et non DIU, ce qui aurait dû me mettre la puce à l'oreille). Bref, je ne raconte pas ma vie contraceptive pour rien. Je donne juste un exemple. Car c'est après avoir lu les réponses bienveillantes, éclairées, et non culpabilisantes de Martin Winckler, que j'ai eu le courage de réclamer un DIU. J'ai dû d'ailleurs également réclamer le modèle que je voulais (le plus efficace, celui qui pouvait rester le plus longtemps en place, le plus adapté à ma "nulliparité", etc.) car le médecin-chef ne posait pas celui-là "d'habitude" (Grrrr). Et j'ai bien fait d'insister et de prendre mon courage à deux mains pour m'informer moi-même, contredire s'il le fallait (et il le fallait, à plusieurs reprises, face à des médecins très sûrs d'eux) et insister sur mon droit à choisir ma propre contraception. Bordel.

Revenons-en à Martin Winckler, il a un site web où l'on trouve de nombreuses informations très détaillées, complètes et faciles à comprendre -sans jamais prendre les femmes pour des connes-, concernant de très nombreux aspects des particularités féminines du corps humain.

Mais si je vous parle de Martin Winckler aujourd'hui, c'est pour une de ces autres casquettes, celle d'auteur. Ses ouvrages pratiques entre autres sur la contraception ou les règles sont à mettre entre les mains de toutes les adolescentes ou femmes s'interrogeant sur ces sujets. Ses ouvrages ou nombreux articles sur les séries télévisées sont étonnants de profondeur et de drôlerie.

Et il excelle également dans la fiction. Ses romans ou polars sont passionnants. J'aime son écriture, son style, ses personnages, la construction de ses intrigues, l'émotion qu'il me procure à chaque nouvelle découverte, et ce que ces récits mes laissent, longtemps après la lecture.

Le dernier en date "le Choeur des femmes" ne fait pas exception.

Ce salaud de Winckler a encore réussi à m'émouvoir aux larmes et à me faire aimer ça ! Et quand je dis émouvoir aux larmes, je ne parle pas d'yeux humides, mais de bonnes grosses larmes qui coulent le long des joues et qui m'empêchent de lire la suite... torture suprême !

C'est une histoire de relations entre soignants et patients, entre médecins et soignants. Ce sont DES histoires de femmes posées côte à côte qui nous dessinent un questionnement sur l'état de la médecine de la femme en France. On y retrouve la moyenne ville de Tourmens, où se situent nombre de ses intrigues précédentes, on y retrouve également les fantômes de quelques personnages. D'ailleurs Bruno Sachs, son héros emblématique, alter égo de Martin Winckler, est parti s'installer au Québec, comme Marc Zaffran, à Québec où il travaille "en vrai" à propos de l'éthique dans la médecine. Le questionnement éthique au coeur de ses romans et en particulier du "Choeur des femmes" me touche, m'émeut, m'intéresse, me questionne. Ses livres continuent à m'accompagner longtemps après leur lecture.

Courrez acheter son livre, et, comme dirait Martin Winckler, faites-le en librairie, les libraires ont aussi besoin de vous.

01/11/2009

Web web web


Que peut-on faire les dimanches après-midi de novembre ?

Rattraper les épisodes de série pas encore vus, aller au cinéma (et pas dans une séance pour les enfants, n'est-ce pas Murielle), se remettre de la veille... ou se perdre sur le net. Quelques idées :


- Les devinettes de Calirézo

- Je VEUX une planche à repasser

- Maintenant que je n'ai plus de chat dans ma vie, j'adopterais bien une souris


- Encore du geek, si vous n'avez pas encore choisi de costume pour Halloween