Where the wild things are (Spike Jonze, 2009, usa)
Fantasque, poétique et mélancolique, sur la difficulté d’être un enfant, la solitude, l’incompréhension. Chaque « monstre » est comme un pan de personnalité de Max. L’univers est vraiment particulier, on adhère ou –j’imagine que- l’on peut rester complètement insensible. Les monstres sont joués par des acteurs en costume, seuls leurs visages ont été ajoutés en post-prof, ce qui donne à leurs présences une réalité palpable étonnante.
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