The Source Code (Duncan Jones, usa, 2011)
Un homme se retrouve dans la peau d'un autre, dans un train et ne comprend pas ce qui lui arrive. Au bout de 8 minutes, le train est victime d'un attentat. Il se retrouve ensuite dans un genre de capsule où on lui explique qu'il fait partie d'une nouvelle expérience militaire qui va lui permettre d'éviter cet attentat, en revenant dans la peau d'un autre 8 minutes avant sa mort. Le voilà qui se retrouve dans les mêmes 8 minutes, dans le même train, et il fera l'aller et retour durant tout le film.
Je mangerais volontiers du Jake Gyllenhal à tous les repas, mais avec plus de substance s'il-vous-plaît. L'idée de la répétition du temps avant une catastrophe a été jouée et rejouée, on s'ennuie, le twist final/happy end termine de casser l'éventuelle pugnacité du scénario si quelqu'un y croyait encore. Le gentil est beau, fort et courageux. Le méchant scientifique noir est vraiment sans coeur. Trop de machiavélisme tue le machiavélisme.
Le film n'est pas mauvais, mais simplement sans intérêt, comme son affiche. Dommage.
J'aime beaucoup jouer avec les réalisateurs mais là je fois bien reconnaitre que cela tourne un peu à vide.
RépondreSupprimerC'est dommage car le début est intrigant à souhait et le côté "reboot" est marrant (même si on sait qu'il ne peut pas empêcher l'explosion).
Ca aurait pu être mieux, dommage