Dogma (Kevin Smith, usa, 1999)
Tant qu'à être dans Kevin Smith (enfin pas dans Kevin Smith, mais Kevin, si tu m'entends, sache que tu as intégré ma liste des 10 célébrités avec qui c'est où ils veulent, quand ils veulent, et oui, je sais que ça peut paraître bizarre à certaines que ce type me paraisse irrésistible, mais c'est le cas) (c'était une longue parenthèse, reprenons), j'ai eu envie de revoir Dogma.
Le pitch : deux anges déchus (Sodome et Gomorre c'était à cause d'eux, deux trois autres conneries aussi) trouvent le moyen de retourner au paradis en passant à travers une arche dans une église du New Jersey (patrie de Kevin Smith où se passent la plupart de ses films), Azraël et ses trois jeunes sbires hockeyeurs vont tout tenter pour les aider, car si les anges déchus réussissent à remonter au paradis, la paroles infaillible de Dieu sera remise en question et donc le monde cessera d'exister, la destruction du monde étant évidemment le but d'Azraël et de Cortex. Mais l'autre camp décide de charger une infirmière (qui travaille dans une clinique d'avortements) de la mission suprême de sauver le monde en empêchant ces deux anges déchus (qui, by the way, sont incarnés par Ben Stiller et pote Matt Damon) de rejoindre le ciel. Elle sera aidée dans sa mission par deux prophètes (Jay & Silent Bob) et par le treizième apôtre qui tente également de rétablir la vérité : Jésus était noir. Bon, je vais pas tout raconter hein, ça c'est juste la mise en place o_O Bref, du délire Smithien dans toute sa splendeur, du blasphème constant, des théories vaseuses hilarante, une ambiance groupe de potaches potes, un esprit "j'ai trop fumé quand j'ai écrit ce scénar" qui me fait hurler de rire. C'est évident que de nombreux esprits chagrins doivent trouver que ce film est une daube absolue, pour moi c'est un chef d'oeuvre d'absurdité comique.
Ah, au fait, je vous ai dit que Dieu est une femme ?
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