500 days of Summer (Marc Webb, usa, 2009)
Comment ai-je pur rater ce petit bijou ? Merci à Armalite de me l'avoir signalé, je l'ai téléchargé aussitôt (ouuuuuh méchante pirate que je suis). Le film débute par la si connue mention graphique : "AUTHOR'S NOTE: The following is a work of fiction. Any resemblance to persons living or dead is purely coincidental."
Suivi de : "Especially you Jenny Beckman."
Et de : "Bitch."
Et voilà, j'étais déjà conquise. Mais quand la (sublime) voix-off prononce : "This is a story of boy meets girl, but you should know up front, this is not a love story" je me suis enfoncée un peu plus profondément dans mon canapé, certaine de ne pas bouger un cil durant l'heure et demi suivante, et j'avais raison. La structure du film avec ses nombreux flash back and forward est très réussie grâce aux intertitres chiffrés, jolie idée. Les moments dessinés, chantés et autre stylisation ne sont pas du tout pesants et correspondent très bien à une introspection comme celle que nous faisons dans l'esprit -et le coeur- de l'adorable Joseph Gordon-Levitt. Sachez encore que malgré l'apparent hyper-positivisme du titre de ce film, il est plus aigre-doux que sucré, d'où mon enthousiasme. Si, comme moi, vous étiez passés à côté, sautez dessus.
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