28/10/2011

Restez jeune, mangez des bébés !


Lecteur, lectrices, ami(e)s, trolls, ce soir je décolle pour 10 jours de séminaire Wallomand. Du coup, je vous propose, pour vos heures perdues que mes ongles, mes films, mes bla-bla et autres bêtises inconséquentes ne rempliront pas, quelques liens.

- Avez-vous remarqué que je suis un peu (hum) portée sur les burgers ? J'ai suivi la coupe du monde de rugby, avec mon estomac. 

- Je vous avais déjà parlé de mon coup de coeur pour le premier roman de Vincent Gessler, Cygnis, son deuxième roman, Mimosa sera publié en février 2012 et un blog relate les étapes entre le manuscrit et le roman final, allez donc visiter Mimosa World et suivez-le sur twitter.

- Le badge ci-dessus vient des éditons delaballe et il y a plein d'autres slogans délicieux (je lorgne sur celui-là depuis un an...).

- Saviez-vous que je modifie ma blogroll très souvent et qu'il y a probablement pleins de choses que vous ne connaissez pas dedans ? Il y en a pour tous les goûts, du miam, du slurp, du mmmmhhhh, du oooohhh, du ah tiens, intéressant, du ah c'est pas ce que je croyais, ou du mouahahahaha.

Des vraies trolls absolument hilarantes, reconnaîtrez-vous les blogs de filles parodiés ?

- Vous vous souvenez du challenge photos couleurs de Armalite ? Et bien on recommence en novembre, ça vous tente ?


A bientôt.

27/10/2011

Du liner rose ? Oui, c'est possible.


Oui, je sais, ENCORE du rose, mais c'est pas de ma faute, c'est parce que j'ai ressorti ma veste de mi-saison, fuchsia, qui me met en joie et j'ai envie d'en mettre partout (d'ailleurs j'ai encore les ongles roses à pois noirs, ce vernis est indestructible, ça fait 10 jours !). Mais problème, en liner, c'est juste atroce tout seul, ça fait ressortir les yeux et muqueuses rouges, on dirait que j'ai de la fièvre, une horreur. Seule solution :  le double liner rose et noir.

26/10/2011

Le parcours des elfes


A Fribourg, chaque automne, le fabuleux Hubert Audriaz, personnage fribourgeois mythique que vous pouvez croiser sur son vélomoteur tignasse au vent, organise un parcours fantasmagorique autour de la veille ville. Des petits êtres fantastiques sont disséminés un peu partout, mais en particulier après la passerelle des Nègles, autour de sa ferme. Cette année, la thématique centrale était les elfes, mais bien d'autres créatures sont venues prêter main forte. Magnifique promenade du dimanche avec mes deux neveux et ma nièce adorés. Je vous laisse apprécier !

24/10/2011

De la réalité de twitter


Certains de mes amis qui ne connaissent pas "funambuline" ont toujours du mal à comprendre quand m'échappe quelque chose du genre "non, ce week-end je ne peux pas, j'ai un(e) copain/copine qui vient me voir de Paris/Bruxelles/Toulouse/etc...". Surtout quand ils comprennent ensuite que non, effectivement, je ne l'ai jamais rencontré(e) "en vrai". Là, il y a deux camps, ceux qui se moquent et ceux qui tentent de comprendre, mais n'y arrivent pas et finissent par me donner d'invraisemblables conseils de prudence sur la dangerosité des rencontres sur Internet. Je répondrais bien #lault, mais ils ne comprendraient pas. Tentons donc une explication de ce que m'a apporté twitter ces deux dernières années. 

L'art de ranger


Le Musée Gutenberg à Fribourg est un magnifique édifice juste à côté de la Place de la Grenette et du Musée Tinguely-Nikki de St Phalle. A côté de l'exposition permanente qui raconte de manière très ludique l'histoire de l'imprimerie, vous trouvez jusqu'au 30 octobre une exposition consacrée à Ursus Wehrli qui a décidé de remettre de l'ordre partout, surtout là où on ne lui a rien demandé.

19/10/2011

Vive la Wallomandie !

Amies et amis, lectrices et lecteurs, trolls, j'ai une annonce de la plus haute importance à vous faire, je viens d'adhérer à un nouveau Parti politique, le Wallomandie, Tradition & Fermentation. Pour la première fois de ma vie, je m'engage activement pour la fusion entre Wallonie et Romandie, grâce à un tunnel (dont le spécialiste en carrelage est un homme charmant, mais passons, c'est une autre histoire que je vous raconterai plus tard) qui reliera Liège à Lausanne. De nombreux autres combats vont être menés de front et nous avons besoin de toutes les âmes motivées pour voir enfin nos voix entendues.

Toutes les actions et valeurs du WTF seront relayées sur le goulayant belaugue Wallomand. Ainsi que sur twitter, grâce aux très actifs membres du WTF, laissez moi vous présenter Fulgence Chtôbe, secrétaire des assemblées des amis de la fanfare du Val e Ruz et de la section romande du Wtf, Rudy Namur-Léman, professeur de Culture Ouest-Wallomande et spécialiste de la machine à café au 5ème étage auprès de l'IRWOc, Jean-Séb. Ahesser, collectionneur d'ampoules professionnel et éminent spécialiste en reproduction dipterologienne, Ruticule Trudi O'Connar, PhD en relations interrégionales, spécialiste en humours locaux et sociologue de terrasse, et Germain Jedevilain, spécialiste en tensions et pressions en voirie publique, consultant pour la construction du Tunnel de Wallomandie.

Nous acceptons évidemment tous les gages d'amitié, même en dehors des frontières de la Glorieuse Patrie de la Wallomandie, et si vous avez des questions, idées, envies de clarification, n'hésitez pas, nous répondrons avec un grand plaisir pour mieux vous emmener dans notre combat. Vive la Wallomandie !

Du rose, du noir, des pois


J'ai ENFIN testé un vernis envoyé de Belgique au printemps par ma très chère Armalite, un rose vif, légèrement irisé de la marque Néerlandaise Hema, bonnes texture et opacité à deux couches, très brillant, je reviendrai vous dire pour la tenue, je n'en sais encore rien.

17/10/2011

Holy Cow Truffle Shuffle


Après le Japon, l'Italie, l'Argentine (que je ne me remettrai JAMAIS d'avoir raté, je VEUX du chimichurri) et la Nouvelle Zélande, Holy Cow nous emmène depuis la semaine dernière au Pays de Galles (jusqu'à jeudi).

14/10/2011

Vote féministe, mode d'emploi


En Suisse, nous votons souvent, environ 4 fois par année, la plupart du temps pour des objets (exemple de mémoire : est-il urgent d'arrêter de construire des minarets alors qu'il n'y en a qu'un seul -et muet- sur sol hélvète ?) (le peuple a évidemment répondu un franc et massif "oui") (le peuple suisse est souvent con, mais ce n'est pas l'objet de mon billet, passons). Mais il y a aussi des élections, communales, cantonales et nationales. Nous n'élisons pas le Conseil Fédéral (pour les non-Suisses c'est-à-dire le collège de 7 "sages" qui se partagent la présidence du pays à tour de rôle), mais nous élisons les deux chambres nationales (qui élisent le Conseil Fédéral). Et justement, en ce moment, nous sommes appelés aux urnes, j'avais envie de vous raconter ma manière d'y mettre une touche féminine (merde quoi, on est sur un blog de fille).

09/10/2011

Gatos Viejos


J'aime me tenir au courant du cinéma Latino-Américain et j'essaie de voir tout ce qui sort à Lausanne. Hier j'ai donc été voir Gatos Viejos (Old Cats) (Pedro Peirano et Sebastian Silva, Chili, 2010), distribué par Trigon (qui font un excellent travail depuis longtemps pour la promotion et la diffusion des films dits "du Sud" depuis de nombreuses années).

Un couple de personnes âgées dont l'épouse souffre d'un début de démence sénile reçoit la fille de cette dernière qui veut leur faire vendre l'appartement dans lequel ils vivent pour en tirer de l'argent. Le début est adorable, la manière dont l'amour de ce couple très attentionné est mis en scène dans les premiers plans est vraiment joli. Malheureusement, c'est mal cadré, la lumière est moche, c'est souvent flou, la caméra bouge. Et ça empire, quand la fille (très mal jouée) débarque, elle cumule les clichés (droguée, lesbienne, hystérique, manipulatrice, pénible). En gros les 4/5 du film se passent dans l'appartement. Puis un moment dans un parc passablement ridicule (quoique sortir de ce lieu fasse du bien), et deux moments d'escaliers.

Visuellement sans intérêt, le jeu des acteurs (à part la vieille dame qui est vraiment très bien) laisse à désirer, la narration est pauvre (et je suis gentille). En gros, avec un meilleur chef op et un meilleur cameraman et un scénariste, ça aurait pu être un très joli court-métrage.

Ne perdez pas votre temps.

Par contre, ne ratez sous aucun prétexte l'exceptionnel We need to talk about Kevin dont j'avais déjà parlé et que je vais aller revoir avec un plaisir non-dissimulé !

08/10/2011

Beauty after works


En octobre et novembre, The Nail Bar de Lausanne (celui de l'Avenue du Tribunal-Fédéral 5) organise quatre  afterworks (18h30-20h30) beauty party autour de thèmes spécifiques :

jeudi 20 octobre : le smoky
jeudi 4 novembre : le teint
jeudi 10 novembre : la bouche
jeudi 21 novembre : l'eyeliner

En deux heures, 8 à 10 participantes au maximum (pensez à réserver dès maintenant !) pourront échanger autour d'un apéritif, se feront faire une pose de vernis et un maquillage par une maquilleuse professionnelle. 

06/10/2011

Oh, un truc de filles en Suisse !


Devinez ce que j'ai fait ce soir ! Non, pas d'idée ? Franchement des cupcakes pastels... Oui, une rencontre de filles au Nail Bar, à l'initiative de la pétillante MagikCosmetik. Pour rester sur les cupcakes, ils venaient de la jolie boutique en face, si vous aimez ça n'hésitez pas... moi je suis plus salée mais je sais qu'il y a des aficionadas...

03/10/2011

L'autre Amérique à l'Elysée


L'Elysée est mon musée préféré à Lausanne. Pour sa situation d'abord, c'est toujours un bonheur de redescendre, après une exposition, par l'enchaînement de petits parcs qui mènent à Ouchy, ça permet de prolonger l'ambiance dans laquelle nous ont plongées les images vues. Mais surtout par ses qualités muséographiques. J'y rate rarement une exposition, même quand elles ne m'intéressent pas forcément de prime abord, j'y trouve toujours un intérêt esthétique ou narratif. En ce moment (et jusqu'au 20 novembre) a lieu l'exposition "L'autre Amérique".

01/10/2011

Bunga Bunga et scoops Holy Cow (oui, encore)


Cette semaine, (après la Nouvelle-Zélande et le Japon) Holy Cow nous propose un détour en Italie avec le Bunga Bunga (ne demandez pas, j'ai pas compris non plus, un truc de rugby I suppose  parce que, merci très chères). Recette : boeuf (of course dirait le patron aux beaux yeux bleus), mozzarella fondue, pesto de tomates séchées, basilic et réduction de balsamique. Toujours de la salade fraîche et de la rucola pour la touche d'amertume.

Pour les amoureux de la cuisine italienne, pas de doute, on reconnaît dès la première bouchée ses saveurs familières. Le moelleux de la mozzarella, la douceur des tomates, l'énergie du basilic et du balsamique. Les plus traditionalistes devraient apprécier. Pour ma part, je suis un peu restée sur ma faim, un final trop gras, un manque de peps qui donne une petite impression de sécheresse, comme une assiette de pâtes trop grasse où l'on a bien mangé mais non merci, le tiramisu sera de trop cette fois-ci. Et encore une fois à mon goût, il me manquait une touche d'acidité pour relever tout ça. Mais la décadence italienne est peut-être bien là ?